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Jean Deyrolle et Gordes
C'est en Mai 1947, un matin de pentecôte que Jean Deyrolle fut séduit par Gordes et c'est là, jusqu'à sa disparition en 1967, qu'il trouvera les éléments qui nourriront une grande partie de son œuvre. Bien que revendiquant l'épithète de "peintre abstrait" depuis 1944, des éléments figuratifs s'introduisent malgré lui dans ses compositions et c'est véritablement à partir de 1948-1949 qu'il se plie à la stricte discipline du langage de la peinture abstraite. Soucieux d'exprimer les émotions que lui procure son environnement, c'est par un langage pictural à la fois simple et rigoureux qu'il parvient à transcrire la beauté de la nature. Ses compositions chargées de sens et d'émotions, denses et subtiles, profondes et strictes sont des formes senties autant que pensées. La couleur évoque un espace animé se remplissant sous le regard, laissant libre court à l'imagination. La qualité de la matière, la souplesse des formes, la variété de thèmes graphiques et un exceptionnel don de coloriste déterminent l'œuvre de Jean Deyrolle, mais ce qui le distingue de ses contemporains, c'est cette aisance totale dans la transcription de son émotion. Les œuvres très composées de la fin de sa vie sont l'aboutissement d'une abstraction personnelle, synthèse de l'être et de la nature. L'harmonie. L'art est pour Jean Deyrolle un jeu subtil et si chacune de ses œuvres offre de multiples possibilités de rêves puisse cette exposition en témoigner. Puisse également le spectateur y retrouver les sentiments que lui ont procuré la lumière et la beauté de Gordes dont l'œuvre de Deyrolle est si imprégnée.
Pascal Lainé (pour l'exposition de Gordes en 1992)
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Jean Deyrolle jusqu’à la ligne abstraite
Grâce à la Fondation Vasarely, à la municipalité et à la galerie Pascal Lainé, une belle opportunité nous est offerte de redécouvrir à Gordes les peintures de Jean Deyrolle.
Jean Deyrolle, prématurément disparu en 1967, aurait quatre vingt ans cette année. Du premier tableau qui le fait admettre au Salon des artistes français en 1933, à l’ultime tableau inachevé, encore sur le chevalet de l’atelier le 30 août 1967, la rétrospective de ses œuvres, présentées à Gordes 24 ans après sa mort a surtout pour dessein de « donner à voir », en raccourci, l’itinéraire pictural de Deyrolle. Une centaine de peintures témoignent ici de l’évolution d’une œuvre singulière. D’après Deyrolle lui-même, il s’agit au commencement de toiles relevant d’un « impressionnisme académique », le passage de la ligne abstraite devant se faire assez naturellement une dizaine d’années plus tard par nécessité intérieure. Une prise de conscience de l’importance vitale que la peinture représente pour lui et la découverte de l’œuvre de Paul Séruzier agissant sur Deyrolle comme révélateur.
Exposition à voir à Gordes jusqu’au 26 juin dans différents lieux : au Château, à l’Aumônerie Saint Jacques, à la Chapelle des Pénitents Blancs et à la galerie Pascal Lainé, place du Château où le samedi 27 juin se déroulera une signature du Catalogue Raisonné par Georges Richar Rivier. Catalogue recensant les 927 peintures réalisées par Jean Deyrolle de 1944 à 1967, chaque notice avec les renseignements habituels étant accompagnée d’une reproduction en noir et blanc.
Le Provençal du 26 mai 1992
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L'art de Jean Deyrolle, c'est d'abord une mosaïque de formes colorées savamment imbriquées, superposées en une combinaison complexe. Au-delà de cette apparence, c'est une organisation de l'espace, un espace sans perspective, mais qui vibre et s'ouvre au regard pour mieux nous entraîner dans la voie spirituelle voulue par le peintre. Il n'y a aucune monotonie dans la longue suite de compositions que nous a laissées Jean Deyrolle : elles constituent, pour qui sait y voir, une sorte de journal intime, à la fois discret et éloquent. Nous y retrouvons ses joies et ses peines baignées dans la lumière souvent chaude et parfois froide où il vécut, où il œuvra, où il aima.
Georges Boudaille
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Pascal Lainé célèbre Jean Deyrolle et son orbite gordienne. Celui qui s’est pris d’amour pour Gordes dès 1947, un jour de lumineuse Pentecôte, a alors délaissé depuis peu la peinture figurative.
Enthousiasmé par sa découverte, il retrouve ici, à travers les gris et les ocres qui se marient aux verts atténués d’argent des oliviers, la réalité concrète d’une recherche qui le préoccupe depuis toujours. Son évolution vers l’abstrait se réjouit ici au spectacle des ruines, au dessin capricieux des toits sur le ciel de Vaucluse, aux jeux de formes des murets et des bories.
Il s’immerge définitivement dans cette ambiance de 1960 à 1967, année de sa mort.
Une grande partie de son travail se sera abreuvé à cette source gordienne. Qualité de la matière, variété des thèmes graphiques, s’ajoutant à un don de coloriste exceptionnel, signe une œuvre dans laquelle ce qui est ressenti s’égale à ce qui est pensé.
Synthèse de l’être et de la nature, en un mot : harmonie.
Pascal Lainé expose des peintures, des œuvres sur papiers et des estampes.
L’Accent de Provence, août - septembre 2000
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Bibiliographie :
1911 J.D. naît le 20 août près de Paris, à Nogent-sur-Marne, où son père, médecin militaire, est en garnison.
1912 A la suite d'autres affectations, la famille Deyrolle s'installe à Vannes, puis à Quimper.
1924 Mort de son père. J.D. va vivre alors chez sa grand-mère à Concarneau. Etudes à l'Ecole primaire supérieure.
1928 Il entre en octobre à l'Ecole " Art et Publicité " dont il suit les cours à Paris pendant trois ans.
1932 Il retourne à Concarneau et il commence à peindre en autodidacte, travaillant parfois avec sa cousine Jeannine Guillou.
1934 Ayant obtenu une bourse de deux mois à Rabat, il part en novembre pour l'Afrique du Nord. Il y restera quatre ans, revenant cependant passer les mois d'été en Cornouaille. Il fait une quinzaine d'expositions au Maroc et en Bretagne. Rencontre de Nicolas de Staël avec qui il voyage en Algérie.
1938 Il rentre définitivement en France fin mars. Il s'installe à Concarneau où il dispose d'un atelier dans la maison de famille. Rencontre de Charles Estienne. La peinture devient sa raison d'être.
1940 Démobilisé en septembre, il rejoint de nouveau Concarneau.
1941 Découverte de l'oeuvre de Paul Sérusier. Influence formelle passagère mais intense du théoricien du Nabisme.
1942 Départ pour Paris, et location d'un atelier 63, rue Daguerre. Rencontre de Jeanne Bucher et de César Domela.
1943 Recherche d'une expression différente par la déformation de l'objet. Grâce à Domela, il se dégage progressivement de la figuration. Fin de la première période.
1944 Rencontres d'Alberto Magnelli et d'Olivier Le Corneur. Un " incident révélateur " le décide à franchir le seuil de l'Abstraction. Début de la 2e période. Jeanne Bucher acquiert ses premières peintures non-figuratives.
1945 Son envoi au Salon des Surindépendants est remarqué par Wilhelm Uhde qui commence à collectionner ses tableaux.
1946 Il participe au " Centre de Recherche " de la rue Cujas. Il se groupe aussi avec quatre autres jeunes peintres : ils exposent ensemble leurs " peintures abstraites " à la Galerie Denise René qui n'a pas encore une orientation très précise...
J.D. reçoit le Prix Kandinsky. Pendant la douzaine d'années qui suit, il participera aux principales manifestations collectives d'art abstrait organisées en France et dans le monde.
1947 Découverte de Gordes. Aux peintures de " l'époque Uhde ", succèdent maintenant les toiles de " l'époque gardienne ".
1948 Après sa première exposition personnelle à Paris depuis qu'il est devenu abstrait, commence la 3e période (qualifiée de " puriste " par J.D. lui-même) pendant laquelle il utilise le Nombre d'or pour construire ses compositions afin de se libérer des derniers vestiges de figuration. Parmi les principales séries " Imbrications géométriques ", " Les pierres ", " Les rois du lino ". Il recherche alors une plus grande participation du spectateur en lui donnant la possibilité de jouer optiquement avec les différentes formes du tableau afin qu'il crée lui-même un " espace mouvant ".
1949 A la suite de la rencontre de Robert Jacobsen à Paris, premier long séjour dé J.D. à Copenhague à l'occasion de son exposition chez Birch, et premier album de lithographies.
1950 Premier séjour en Allemagne pour son exposition chez Otto Ralfs à Brunswick.
1951 Il adopte définitivement la tempera, ce qui modifie profondément sa palette et sa technique.
1953 Mort de sa mère. Expérience de l'enseignement pendant un an à l'académie de Femand Uger. Invité à la Biennale de Menton. Apparition vers Pâques d'une nouvelle série charnière " Les chats dans le placard ", où le problème d'espace mouvant perd de son importance.
1954 Début de la 4e période qui dure jusqu'en 1962. Il est " repris par un certain romantisme ". Touche plus marquée. Quelques séries: " Les quatre-quarts ", " Les lames ", " Les processions ".
1955 1er Grand Prix à la IIIè Biennale de Menton. J.D. confie plusieurs cartons de tapisseries à Marie Moulinier.
1957 Biennale de Sao-Paulo. Diplôme d'honneur à la Triennale de Milan. Découverte de nouvelles possibilités d'expression, d'une grand efficacité plastique, par la tranposition sur le mode abstrait de son émotion devant " le spectacle de la nature ". Le geste prend une importance plus grande. Quelques séries réparties sur plusieurs années : " L'étang de Berre", " Les queues de chat ", " Orage ", " Nature animée "...
1958 Médaille d'Argent à l'Exposition Internationale de Bruxelles. Construction d'un atelier à Gordes. Premier voyage en Italie.
1959 J. D. accepte un poste de professeur à l'Académie de Munich. Cette nomination, et les déplacements que cela entraîne, contribue en partie à sa décision de s'installer complètement à Gordes où, loin de Paris, il peut travailler dans le calme.
1960 Biennale de Venise. Il est nommé Chevalier des Arts et Lettres.
1961 Biennales de Tokyo et de Sao-Paulo. Il organise un séminaire d'été à Gordes pour ses élèves. L'effet sur sa peinture des séjours en Bavière se manifeste dans la série " Barroco ".
1962 Deuxième voyage en Italie et visite de Vérone, Vicence et Venise. Début de l'expérience du " rêve éveillé "en novembre, et répercussions sur une série de toiles qui présentent toutes de façon plus ou moins nette des figures anthropomorphes.
1963 Début de la 5e - et dernière - période de J.D. : il réalise la synthèse de ses recherches précédentes. Le cercle réapparaît dans les compositions. Séries des " 3 V " et des " Autoroutes ".
1964 Invité d'honneur à la Biennale de Menton. Sur la demande du professeur Meyerson, il fait un exposé sur son travail de peintre.
1966 Première rétrospective à la Galerie Denise René. Livre avec Robert Pinget. Voyage de deux mois en Grèce et dans les îles des Cyclades. Série des " Cercles transpercés " d'une faille oblique.
1967 Son état de santé qui s'altérait depuis plusieurs années empire brusquement en février. Il est fin avril dans l'obligation d'aller habiter Toulon pour y suivre deux jours par semaine un traitement de dialyse périodique. Il loue un appartement dominant la rade, il recommence à peindre (série des " Voilures "), à travailler au projet du livre avec Samuel Beckett, et il fait même le trajet de Munich pour donner son dernier cours du semestre...
Au cours de la vingt-neuvième séance de dialyse, le 30 août, J.D. meurt d'une crise cardiaque. Il venait d'avoir cinquante-six ans.
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Expositions :
Une quinzaine d'expositions personnelles des peintures figuratives de Jean Deyrolle ont lieu en France, au Maroc et en Espagne de 1934 à 1942. La première exposition importante d'œuvres abstraites (avec Jean Dewasne) est présentée à Paris en 1947 par Denise René.
1948 |
Paris, Galerie Denise René |
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1949 |
Copenhague, Galerie Birch |
1950 |
Brunswick, Galerie Otto Ralfs |
1951
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Paris, Galerie Denise René |
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Quimper, Galerie Saluden |
1952
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Brest, Galerie Saluden |
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Rennes, Galerie Les Nourritures Terrestres |
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Bruxelles, Galerie Ex-Libris (décembre-janvier 1953) |
1953
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Paris, Galerie Denise René |
1954 |
Copenhague, Galerie Birch |
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Milan, Galleria del Fiore |
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Paris, Galerie Denise René |
1955 |
Brest, Galerie Saluden |
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Rennes, Galerie Perdriel |
1956 |
Bruxelles, Palais des Beaux-Arts |
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Copenhague, Kunstforeningen, Aarhus, Kunstforeningen |
1958 |
Milan, Galleria del Grattacielo |
1959
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Paris, Galerie de France |
1960
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Copenhague, Kunstemes Kunsthande |
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Zurich, Galerie Lienhard |
1961
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Malmö, S.D.S. - Hallen |
1962 |
Amsterdam, Galerie d'Eendt |
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Copenhague, Galerie Hybler |
1963 |
Milan, Galleria del Grattacielo |
1965
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Paris, Galerie Georges Bongers |
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Copenhague, Galerie Hybler (avec 6 sculpures de Jacobsen) |
1966
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Paris, Galerie Denise René (rétrospective) |
1967 |
Luxembourg, Galerie Paul Bruck |
1968 |
Saint-Paul de Vence, Musée Municipal |
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Château de Gordes |
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Copenhague, Kunstforeningen (rétrospective) |
1969
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La Rochelle, Maison de la Culture |
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Rennes, Maison de la Culture |
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Brest, Galerie Saluden |
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Quimper, Galerie Saluden |
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Munich, Institut Français |
1970 |
Paris, Galerie Georges Bongers |
1971
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Milan, Galerie Vismara |
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Cannes, Galerie Cavalero |
1972 |
Genève, Galerie Stebler |
1974
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Concarneau, Galerie Gloux |
1975 |
Paris, Galerie Georges Bongers |
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Cavaillon, Chapelle du Grand Couvent |
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Cannes, Galerie Cavalero |
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Bruxelles,Galerie Armoria |
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Paris, Musée d'art moderne de la Ville (rétrospective) |
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Paris, Galerie Denise René Rive-Gauche |
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Aalborg, Nordjyllands Kunstinuseum (rétrospective) |
1976
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Esbjerg, Kunstpavillonen |
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Privas, Centre Art et Loisirs |
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Brest, musée des beaux-Arts |
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Zurich, Galerie Mark |
1977 |
Nice, Galerie Sapone |
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Gordes, Abbaye de Sénanque et Village des Bories |
1979 |
Quimper, Musée des Beaux-Arts (rétrospective) |
1980 |
Concarneau, Galerie Gloux |
1984
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Rennes, Musée des Beaux-Arts |
1987 |
Morlaix, Musée des Jacobins |
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Concarneau, Galerie Gloux (avec Gilioli) |
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Paris, Galerie Galarté |
1992
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Gordes, Galerie Pascal Lainé et Musée Vasarely, Château de Gordes |
2000 |
Gordes, Galerie Pascal Lainé |
2011 |
Gordes, Espace Simiane du 10/6 au 18/9 (Centenaire de la naissance de Jean Deyrolle)
Ménerbes, Galerie Pascal Lainé (Centenaire de la naissance de Jean Deyrolle) |
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Collections publiques :
AALBORG (Nordjyllands Kunstmuseum), Danemark
AARHUS (Kunstmuseum), Danemark
BEAULIEU-EN-ROUERGUE (Centre d'art contemporain), France
BREST (Musée des Beaux-Arts), France
COPENHAGUE (Ny Carlsberg Glyptotek), Danemark
COPENHAGUE (Statens Museum for Kunst), Danemark
COPENHAGUE (det Danske Kunstindustrimuseum), Danemark
DUNKERQUE (Musée des Beaux-Arts), France
GORDES (mairie), France
GORDES (bureau de La Poste), France
GRENOBLE (Musée de peinture et de sculpture), France
LUXEMBOURG (Musée d'Art et d'Histoire), France
MENTON (Musée municipal), France
MORLAIX (Musée des Jacobins), France
NANTES (Musée des Beaux-Arts), France
NEW-YORK (The Salomon R. Guggenheim Museum), USA
OSLO (Musée d'art moderne), Norvège
PARIS (Bibliothèque Nationale, Cabinet des Estampes), France
PARIS (Centre Georges Pompidou), France
PARIS (Fond National d'Art Contemporain), France
PARIS (Musée d'Art moderne de la Ville de Paris), France
PARIS (Musée National d'Art Moderne), France
PECS (Musée de la Ville), Hongrie
QUIMPER (Musée des Beaux-Arts), France
RENNES (Musée des Beaux-Arts), France
RENNES (Fonds Régional d'Art Contemporain de Bretagne), France
SAINT-GERMAIN-EN-LAYE (Musée départemental du Prieuré), France
SAO-PAULO (Musée d'Art Moderne), Brésil
SKOPJE (Musée d'Art contemporain), Macédoine
TURIN (Museo Civici), Italie
VERVIERS (Musée), France
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Ouvrages :
Julien ALVARD, Léon DEGAND, R. V. GINDERTAEL
Témoignages pour l'art abstrait, Boulogne-sur-Seine : éd. Art d'Aujourd'hui, 1952, pp.86 à 93.
Mogens ANDERSEN
cat. expo. Copenhague 1956, et Alborg 1975.
Omkring Kilderme, Copenhague: G. E.C. gads Forlag, 1967.
Erik ANDREASEN
cat. expo. Copenhague 1960 et 1965, Malmô 1961, Aalborg 1975 et Zurich 1976.
Samuel BECKETT, Jean DEYROLLE
Séjour, Paris : Georges Richar, 1970.
E. BENEZIT
Dictionnaire critique et documentaire des Peintres, Sculpteurs Dessinateurs et Graveurs (Tome 3, p. 555) nouvelle éd. Paris Librairie Gründ, 1976.
Huguette-Arthur BERTRAND
"Deyrolle aux deux lumières", cat. expo. Quimper, 1979.
Roger BORDIER
"Deyrolle et la détrempe", Art d'aujourd'hui, février 1954.
"Le long rêve de Jean Deyrolle", Cimaise, juillet 1976.
Georges BOUDAILLE
"Portrait d'artiste: Jean Deyrolle", L'Actualité Artistique, 25 juillet 1952.
"Toutes les disciplines et toutes les libertés se rencontrent chez Jean Deyrolle", L'Actualité Artistique, 16 mai 1953.
"Jean Deyrolle, un peintre à redécouvrir", Les Lettres Françaises, 8 juillet 1965, cat. expo. Paris 1965, Saint-Paul de Vence 1968 et Copenhague 1968.
Jean BOURET
L'art abstrait, Paris : Club français du livre, 1957.
Marcel BRION
L'art abstrait, Paris : Albin Michel, 1956.
Léon DEGAND
Art d'aujourd'hui juin 1951, et décembre 1951.
Deyrolle, Linolmschnitt. Zurich : Verlagsgemeinschaft, 1954.
"Deyrolle" Aujourd'hui, mars 1956.
Léon DEGAND, Georges RICHAR
Deyrolle, Paris : éd. Musée de Poche, 1974.
Odile DEGAND
" Témoignage ", cat. expo. Cannes 1975.
" Un héritage spirituel ", cat. expo. Quimper 1979.
" Un tableau charnière ", cat. expo. Morlaix 1987.
Jean DEWASNE
"Souvenirs des temps oubliés", cat. expo. Paris 1975.
Dictionnaire universel de la peinture (Tome 2, p. 229) Paris: S.N.L. Dictionnaire Robert, 1975.
Gaston DIEHL
La peinture modeme dans le monde. Paris: Flammarion 1961, cat. expo. Gordes 1968.
Jacques DOPAGNE
"Mortensen et Deyrolle", XXe siècle, sept. 1957.
Jean Deyrolle : Six lithographies, Milan: edizione del Grattacielo, 1964.
Bernard DORIVAL
Les peintres du XXe siècle, Paris: Pierre Tisné, 1977.
Charles ESTIENNE
"Jean Deyrolle ou la continuité de la peinture" Art d'aujourd'hui, Avril-mai 1950.
"Petit discours sur le style" L'Observateur, 21 mai 1953.
Simone FRIGERIO
"Jean Deyrolle ou le dernier des Nabis" (1911-1967), cat. expo. Cannes 1971.
Gerhard FRÖBEL
"Jean Deyrolle à Munich, 1959-1967", cat. expo. Paris 1975.
Jean-Pierre GEAY
Deyrolle une peinture bien tempérée, L'Isle-sur-la- Sorgue, 1977.
R.V. GINDERTAEL
"Le passage de la ligne : Deyrolle", Art d'Aujourd'hui, mars 1953, cat. expo. Paris 1953.
"Deyrolle" Les Beaux-Arts (Bruxelles) 2 mars 1956.
Jean GRENIER
Entretien avec dix-sept peintres non-figuratifs, Paris : Calmann-Lévy, 1963.
Robert JACOBSEN
"Maler ind til benet", cat. expo. Aalborg, 1975.
Giorgio KAISSERLIAN
"Jean Deyrolle", cat. expo. Milan 1963.
Jean-Clarence LAMBERT
La peinture abstraite, Lausanne : éd. Rencontre, 1967.
Jacques LASSAIGNE
cat. expo. Paris 1975.
Olivier LE CORNEUR
"Rétrospective d'une amitié", cat. expo. Paris 1975.
"Jean Deyrolle à Gordes", cat. expo. Gordes 1977.
Jean LEPPIEN
cat. expo. Gordes 1977.
Alberto MAGNELLI
cat. expo. Saint-Paul-de-Vence 1968.
Ignace MEYERSON
cat. expo. Paris 1966.
Renée MOUTARD-ULDRY
La tapisserie française et les peintres cartonniers, Paris : éd. Tel, 1957.
Muses (les encyclopédies des arts no 96), Paris : éd. Grange-Batelière, 4 août 1971.
J. Brynjolf PEDERSEN
De Franske, Copenhague : Ejnar Mansksgaard, 1958 ; éd. suédoise, Stockholm : S. Jag Malar,1958.
Jean PFEIFFER
"Jean Deyrolle: une expérience spirituelle", Les Cahiers de la Peinture, 16-31 décembre 1975.
Robert PINGET, Jean DEYROLLE
Cette Chose, Paris : Denise René, 1967. Republié dans Arts Press, n° 39, juillet 1980.
Michel RAGON
L'aventure de l'art abstrait, Paris : Robert Laffont 1956.
Michel RAGON, Michel SEUPHOR
L'art abstrait (Tomes 3 et 4), Paris : Maeght, 1973 et 1974.
Georges RICHAR
Deyrolle, l'oeuvre gravé, Paris : éd. A.J.D. 1976.
Introduction à l'oeuvre de Jean Deyrolle, suivi de l'esquisse du catalogue des peintures de 1944 à 1967, mémoire de diplôme de l'Ecole des Hautes Etudes en Science Sociales, Paris 1981.
"Deyrolle", cat. expo. Cavaillon 1975.
"Deyrolle et Gordes" cat. expo. Gordes 1977.
"Jean Deyrolle et le passage de la ligne", cat. expo. Rennes 1984.
"Jean Deyrolle ou le Nabi abstrait", cat. expo. Morlaix 1987.
"Jean Deyrolle en éclats ou proposition pour un abécédaire", Paris : éd. Porte du Sud/Galarté, 1987.
Claude-Henri ROCQUET
"Matière de Bretagne", cat. expo. Quimper 1979.
Walter SCHWARTZ
Six lithographies, Copenhague / Paris : Christian Sorensen / Denise René, 1949
"Deyrolle", cat. expo. Copenhague 1962.
Michel SEUPHOR
Dictionnaire de la peinture abstraite, Paris : Fernand Hazan, 1957.
La peinture abstraite, Paris : Flammarion, 1962.
René de SOLIER
"Deyrolle, Lapicque", Le Disque vert (Bruxelles) janvier-février 1954.
J. Christian SORENSEN
"Hans rene livssyn lever", cat. expo. Aalborg 1975.
Anne de STAËL
"Flamme", cat. expo. Quimper 1979.
Herta WESCHER
"Deyrolle", Art d'aujourd'hui, juillet 1953.
"Jean Deyrolle", Cimaise, juin-juillet 1956.
Richard WINTER
"Deyrolle", Hvedekorn (Copenhague), février 1953.
Jean DEYROLLE
Montage audio-visuel de 18 minutes conçu par Solange NOAH et Georges RICHAR, réalisé en 1979 par Contre-chant.
Texte dit par Pierre Viala, avec la voix de Jean Deyrolle et des interventions de Huguette-Arthur BERTRAND, Odile DEGAND, Hélène JACOBSEN, Olivier LE CORNEUR, André PEC. Musique d'Eric SATIE.
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